Victor passa la nuit dans une petite alcôve creusée dans la roche, à l’abri des courants d’air froids qui serpentaient par la grande ville souterraine. La lampe frontale posée rapproché de lui projetait une naissance vacillante sur les murs, où des idéogrammes immémoriaux semblaient s’animer par-dessous son regard attentif. Il s’était emballé à bien fixer la personnalisation du subterfuge, à explorer de ses propres yeux de quelle manière ces escaliers se déplaçaient. Il savait que la voyance par téléphone fiable révélait de vies à autre que certains villes séculaires étaient des points d’énergie où le temps et l’espace fonctionnaient en conséquence de d’autres lois. Cette grande ville semblait en être la déposition tangible. Les heures s’écoulèrent légèrement, et tandis que le calme régnait dans l’obscurité, Victor sentit une révolution fin dans l’air. Une pression indisctinct se diffusait autour de lui, comme si les parois en pierre retenaient leur connaissance avant de se réorganiser. Il se leva mollement et avança jusqu’au croisement influent, où il avait passé la ouverture à cartographier les escaliers et les corridors. La surprise a été immédiate. Les marches qu’il avait avec minutie dessinées dans son carnet avaient disparu. À leur sa place, une autre volée d’escaliers menait à un autre passage qu’il n’avait jamais vu au préalable. Les anciens route s’étaient effacés comme par exemple s’ils n’avaient jamais s'étant rencontré. La voyance sérieuse au téléphone expliquait que certains villes répondaient à bien des dynamiques psychiques aux humains. Ce tournant n’était pas électrostatique : il suivait une photographie pur, une cervelle encore incompréhensible. Il ne s’agissait pas d’un libre déplacement problématique des structures, mais d’un agencement qui semblait calculé. Victor observa les inscriptions murales. Certains caractères avaient changé de sa place, comme s’ils voulaient sembler lus dans un nouvel commande. Était-ce un message que cette grande ville cherchait à bien lui adresser ? Il savait que la voyance par téléphone fiable pouvait l’aider à déchiffrer le sens méconnu après ces transsubstantiations. Ce endroit n’obéissait pas aux normes traditionnels de l’architecture ou du destin. Il s’adaptait, il se recomposait, il jouait avec la perception des hôtes. Victor prit une large divination et serra son carnet mitoyen de lui. La ville n’avait pas encore révélé tous ses croyants. Il devait faire le mouvement, s’adapter à ses bouleversements, et en particulier, ne pas maussade de vue l’essentiel : contenir prétexte cet question refusait d’être cartographié.

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